Non catégorisé

Samedi 20 août 6 20 /08 /Août 22:50

  Tu me rejoins au restaurant. C'est un premier rendez-vous, l'excitation de rencontrer un inconnu. Je suis déjà là quand tu arrives, je te plais de suite, et le décor est superbe, un beau restaurant en ville.Tu ne portes qu'une petite robe légère, au-dessus du genou, et tu es toute en beauté ce soir. Le dîner est agréable, nous échangeons des anecdotes, le courant passe bien, le vin coule à flot, tu passes une soirée délicieuse.
  Entre le café et le dessert, je te propose de m'accompagner au ciné. Un peu émechée, tu acceptes. "Mais si tu veux que je t'invite, tu dois me donner ta culotte... " La proposition te fait rire, mais un peu génée tu t'absentes aux toilettes. Un peu d'eau sur le visage, tu t'interroges, pourquoi pas, rien à perdre après tout. Isolée dans les toilettes, tu relèves ta jupe, et tu enlèves ta petite culotte. Tu t'aperçois qu'elle est déjà bien humide...De retour dans la salle, tu déposes ta culotte devant moi, dans mon assiette. Nos regards se croisent, mais à ce moment le serveur vient déposer l'addition, nous dissimulons à peine un fou rire...
Dans la rue, l'air frais se glisse sous ta robe, une sensation excitante... Moi même je suis plus qu'emoustillé de marcher avec toi, bras dessus bras dessous, en sachant que ton sexe est à l'air libre à quelques centimètres à peine... Quand on marche sans culotte, on a l'impression que tout le monde s'en aperçoit dans la rue. Cette délicieuse sensation, combinée au vin, tu arrives donc au cinéma un peu euphorique...
  C'est la séance de 22h, la salle est presque vide. Nous nous asseyons à la dernière rangée, contre le mur. Qui va attaquer en premier ? Alors que la lumière s'éteint, nous basculons dans un autre univers...Rapidement mes lèvres se posent dans ton coup. Tu fermes les yeux et te laisses aller complètement. Mes mains caressent tes seins, ton ventre, tes cuisses, ton corps se réchauffe peu à peu... A ton aise dans le fauteuil et l'obscurité, tu te livres. J'extirpe tes seins de ta robe, par dessus-ton soutien gorge. Tes tétons déjà durs frémissent de plaisir lorsque ma bouche les aspire, pas très délicatement d'ailleurs, ce qui t'excite encore plus. La proximité des autres spectateurs est enivrante. Ma main remonte plus loin le haut de tes cuisses, ce qui provoque un frisson général chez toi. Lasse d'attendre, tu écartes tes jambes en grand, un pied sur mes jambes, l'autre sur le fauteuil d'à côté.Ta vulve est détrempée lorsque mes doigts la rencontrent pour la première fois.
  Mon pouce caresse ton bouton de plaisir, fermement mais avec de l'expérience, tu ruisselles littéralement.Lorsque mon premier doigt s'introduit d'un seul coup dans ton minou, tu peines à retenir un gémissement. Il bouge en toi, tournoyant sur tes parois. Il entre et sort, tu es plus excitée que jamais. Tu te laisses aller... Un deuxième doigt s'introduit en toi. Tapie dans l'obscurité, tu écartes tes jambes au maximum, tu a presque envie qu'on nous surprenne. Un troisième doigt, ton vagin se dilate, tu te sens prise. Tu fais semblant de résister lorsque mon 4ème doigt entre à son tour. 4 doigts, c'est beaucoup, mais ce soir c'est sans douleur. Tu dégoulines sur ma main, dilatée au maximum, mes 4 gros doigts vont et viennent et te caressent à l'intérieur. Tu te mords la lèvre, je prend ta main, et la dépose sur ton sexe à son tour. La main d'un inconnu presqu'entière entre tes jambes, ton index habile caressant à toute allure ton clitoris, la tête tournant, dans la moiteur du cinéma, tu vibres de la tête aux pieds. L'orgasme est puissant, il te secoue entièrement.
  Ma main se retire délicatement, je t'embrasse, puis tu restes une minute à reprendre tes esprits en respirant lourdement.Le plaisir digéré, tu retombe sur terre, et là, comme prise de honte, tu te rhabilles en vitesse, tu te lèves et tu quitte la salle sans rien me dire. Alors que je me rue à tes trousses, tu marches précipitamment dans les couloirs du cinéma désert, tu ne te retournes pas quand je t'appelles, je suis vert de honte, je pense avoir mal fait. Tu disparais dans les toilettes des filles, au sous sol, sans te retourner.
  J'enfonce la porte quelques pas derrière toi. Je te découvre à l'intérieur d'une cabine, l'air décidée, je ne sais pas ce que tu vas dire. Tu es la première surprise de t'entendre dire "baise moi ici et maintenant !" Bouche bée, je ne sais pas par où commencée, mais déjà tu es agenouillée devant moi. Ta main experte défait ma ceinture puis ma braguette, et quelques instants après mes jambes tremblent alors que tu engloutit d'un coup mon sexe dans ta bouche. Tu te régales de me sentir durcir sur ta langue, qui tournoie autour de mon gland, ta bouche qui m'aspire profondément. Minuit, dans un sous sol de cinéma, en train de sucer un inconnu, tu es excitée à mort...
  Je ferme à mon tour les yeux. Ta main sur mes couilles, tu me branles, tu t'applique avec ta bouche pour me faire une vraie pipe d'enfer. Ton autre main est déjà entre tes jambes, tu te masturbes, les sons de ton plaisir et du mien se confondent. Je t'agrippe par les cheveux (sans te faire mal, juste pour te dominer un peu, tu aimes ?) et j'enfonce ma verge autant que possible dans ta bouche. La minute d'après, je te relève, je te retourne devant moi. Un pied sur la cuvette, tu te cambres, prête à etre prise en levrette. Ta chatte te démange, elle appelle mon sexe en elle, je la vois luisante.
  A ta grande surprise, je m'agenouille derrière toi, mes mains écartent tes fesses, et ma langue se plaque contre ton petit trou, lèche la raie de tes fesses rebondies, titille ton anus encore, le pénètre doucement. Sans plus de préliminaires, je t'agrippe par les hanches, je passe ma main sur ton minou pour l'enduire de ton jus, que j'étale au bout de mon gland pour lubrifier. Mon gland est énorme, il te fait mal, mais autant que moi tu pousses pour le faire rentrer. Centimètre après centimètre, je rentre en toi, jusqu'au bout. Je t'entend à peine respirer, concentrée que tu es a m'accepter entre tes fesses, sans trop avoir le choix, te masturbant à toute vitesse pour profiter de l'instant.Une fois au bout, je commence mon va et vient en douceur. La sensation est délicieuse pour toi, et moi je me régale. Lorsque tu es bien dilatée, je t'agrippe les cheveux et la hanche, et j'accélère soudain le rythme. La tête plaquée contre les carreaux froids du mur, les cheveux tirés un peu par ma main, tes doigts sur ton clitoris, tu te découvres soudain en train de te faire enculer sans vergogne dans les toilettes d'un cinéma. J'y vais fort, tu te sens presque un peu abusée, ca pourrait ressembler à un viol, sauf que tu es plus que consentante. Tes doigts entrent dans ta chatte à leur tour, tu sens contre tes parois ma verge qui pilonne ton petit trou, une sensation de double pénétration... c'est animal. Je mets mes doigts dans ta bouche pour retenir tes cris, tu les suces aussi. Les yeux fermés, tu te fais baiser comme il se doit... La cadence et l'intensité s'accélèrent, c'est vulgaire, le plaisir monte... J'explose au fond de ton cul d'un coup, puissamment. Tu m'aspires de toutes tes forces, tu atteins l'orgasme aussi quelques secondes après.
  Lorsque nous repartons dans la rue, je te raccompagne au taxi. Je t'ai forcé à remettre ta culotte, tu sens mon foutre dégouliner entre tes lèvres... Tu te sens souillée, mais heureuse, légère... encore excitée peut-être... 
  Mais aucune idée de quoi pouvait bien parler le film !

Par anecdotescoquines
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Samedi 20 août 6 20 /08 /Août 22:37

Bonjour à toutes,

 

Je suis Maoro, je vis sur Paris, j'ai 28ans et je voudrais partager avec vous des anecdotes coquines qui me sont arrivées, que j'ai vues où que j'ai imaginées. Pour le plaisir des mots... en espérant stimuler l'imagination des lectrices. A déguster au bureau, entre deux mails, ou le soir avec le laptop dans le lit :-) N'hésitez pas à commenter ou m'envoyer vos propres histoires aussi !

 

xoxox

 

Maoro

Par anecdotescoquines
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