anecdotes coquines

A force de te tanner pour qu'on se rencontre, tu as fini par accepter - mais juste pour boire un verre hein! Pas de blague. Je te rencontre donc dans un café près de chez toi, et à ta grande surprise tu me trouves agréable, en fait je te fais beaucoup rire. Mes incessants compliments te fond enfin rougir au moins une fois, ou bien est-ce le vin ?

Par ce bel après-midi d'été, tu dis devoir me laisser car l'entretien de ton jardin t'attends - je parie que tu adores les fleurs.  Alors que tu quittes la table, un peu pressée, mais un peu déçue de gâcher ce beau moment, je te proposes mes services pour travailler un peu à ton jardin. Tu rougis, hésites, et finit par accepter: d'accord, mais juste du jardinage hein? Oui, si tu paies l'apéro ensuite avant que je file.  En route vers chez toi, tu me vois te suivre dans ton rétro, et une certaine tension t'animes, inexplicablement. Mais qu'est-ce qui t'as pris d'accepter ? Deux heures plus tard, je sens tes yeux sur moi à travers la baie vitrée qui donne sur le jardin. J'ai transpiré à planter des tulipes sur un massif dans ton jardin, et je dois définitivement enlever mon t-shirt pour ne pas fondre au soleil. Tu ne perds pas une miette du spectacle, ma peau bronzée, les muscles tendus par l'effort... Oui il est plus jeune, quelle folie, mais à le regarder comme ça, tu apprécies beaucoup le spectacle... Mais que dis tu, tu divagues, retournes vite sur ton ordinateur. Troublée. En fin d'après-midi, chose promise chose due, tu sors deux bières du frigo et viens me rejoindre dans le jardin. Vide! Ou est-il? Du bruit dans l'abri de jardin, je suis en train de ranger les outils. En passant la tête par la porte, tu restes à m'observer au fond de la cabane, torse nu, le pantalon accroché si bas sur la taille que tu crois discerner le haut de mon pubis, et en dessous... tes yeux croisent les miens et tu vires écarlate. Je saute sur l'occasion. Je m'approche de toi et te remercie pour la bière, que me regardes porter à ma bouche sensuellement. Je suis si près que tu peux me sentir. Dans la pénombre de la cabane, nous sommes seuls...  Tu remarques mes yeux qui dérivent sur toi. Parée de ta petite robe printannière, tu n'as même pas de soutien-gorge. Je vois tes seins qui tendent la toile à quelques centimètres à peine de moi. L'excitation est à son comble. Que va-t-il se passer? Cette bière dans la chaleur te tourne la tête... Tétanisée, tu ne réagis pas quand je dépose ma bouteille sur l'établi. Lentement, je m'avance vers toi, et tu restes interdites. Ma main ôte ces cheveux devant ton visage, puis attire ta bouche vers la mienne. Non! Ce n'est pas bien, dis non! Trop tard. Le baiser est si tendre qu'il t'électrise. Nos langues se rencontrent et dansent. Mes mains glissent sur ton dos, tes épaules. Les yeux fermés, tu t'abandonnes. Instant passionnel où le désir se fait réalité. Une de mes mains prend ta bière et la dépose. Tes mains libres sont guidées sur mon torse. C'est chaud et doux, tu n'avais pas caressé de comme ça depuis bien des années. Je dévore ta bouche, je te sens respirer plus fort. Contre ton ventre tu sens une bosse qui durcit dans ton pantalon. Ohlalala mais qu'est-ce qu'il se passe! Avant que tu aies le temps de dire ouf, je prends ta main et la pose dessus. A travers la toile tu sens mon sexe déjà tendu de désir... Tu n'as pas vraiment le contrôle de la situation, je n'arrête pas de t'embrasser en te serrant contre moi! La situation est embarrassante, mais si naturelle... Mes doigts sur ta peau t'électrisent. Ils se glissent sous les bretelles de ta robe et les font glisser sur tes épaules. La robe glisse sur tes courbes et tombe par terre! Te voilà en petite culotte devant moi avant même d'avoir eu le temps de comprendre ce qu'il se passe! Ta poitrine superbe est ardente lorsque mes mains s'en emparent. Mes mains un peu râpeuses, mais si attentionnées... tu pointes de plaisir. Quelle chaleur! Nous transpirons allégrement à l'ombre. Ton souffle dans mon cou me rend plus dur que jamais. Abandonnée, tu ne protestes pas lorsque je prends tes mains pour les glisser sous l'elastique de mon pantalon et le faire glisser vers le bas. Tu découvres mes fesses, jeunes et rebondies, et tes mains en profitent allégrement, cela t'excite. Je te fais descendre mon caleçon jusqu'à mi-cuisses. Tel un diable hors de sa boite, mon sexe tendu bondit vers toi. Tu le sens contre ton ventre, tu te presses contre lui. Mes mains, sur tes fesses, les écartent légèrement. Je devine ton minou contre ma cuisse... Mes mains appuient sur tes épaules pour t'intimer de t'agenouiller. Comme un ordre plutôt. Tu aimes te sentir dominée... tes lèvres embrassent mon cou, mon torse, mon ventre... et tu te retrouves nez à nez avec mon sexe. Appuyé contre l'établi, le pantalon sur les genoux, je regarde ma bite disparaitre dans ta bouche. Toi, si belle et plantureuse, seulement vêtue de ta culotte, accroupie devant moi pour mon plus grand plaisir... Tu n'avais rien vu venir, et te voilà fière de me prodiguer des coups de langues expert. Je parie que tu adore sentir un sexe grandir et durcir dans ta bouche... tu te régales, et mes premiers râles de plaisir te décomplexent complètement.  Tu es une experte! ta main masse mes bourses, tes doigts coulissent sur ma tige, et toi tu m'avale et m'aspire sans retenue. Seuls les bruits de succion et mes gémissements s'entendent au fond du jardin... ça t'excite... mes yeux se perdent dans les tiens alors que tu me fixe en me suçant. Divine... Je te relève et te retourne, dos à mois, les mains appuyées sur le plan de travail. Ma bouche dévore ton cou, et déjà contre tes fesses tu sens le résultat de ton travail: mon sexe est plus grand et dur que jamais contre tes fesses. Tu fonds de plaisir et ondule tes hanches contre moi! Tes seins rebondissent dans mes mains, tes tétons durcissent en roulant entre mes doigts, et toi tu te lâches.... ma bouche descend dans ton dos, embrasse tendrement tes fesses tandis que ta culotte glisse le long de tes cuisses. Cambre ma jolie, ouvre moi tes fesses. J'aperçois devant moi ton minou lisse et ton petit trou, et je souris en t'entendant exprimer ton plaisir lorsque ma langue remonte entre tes fesses la première fois. La fougueuse langue de la jeunesse! Tes jambes tremblent, tes yeux se ferment. Chaude et humide, ma langue te fouille sans retenue. Tu coules de plaisir, et je me régale. Ton petit trou n'est pas timide lorsqu'elle lui rend visite. Cambre plus encore, ma langue entre en toi. Caresse toi en même temps. Magnifique... La situation est si obscène que tu lâches prise. Une vague de chaleur envahit ton ventre, et ta voix fébrile exprime un orgasme inattendu... te faisant dévorer la croupe par un jeune inconnu dans ton abri de jardin... tu ne l'avais pas vue venir celle là! Alors que tu reprends ton souffle, mes mains agrippent tes hanches, et le plaisir revient: tu sens mon sexe se présenter devant le tien, pousser la porte d'entrée... je rentre sans difficulté, tu es si humide à vrai dire! Je tire sur tes hanches pour rentrer le plus profond possible, j'attrape meme tes bras en arrière pour avoir meilleure prise. Tu es complètement soumise, et la vigueur de mon sexe tendu en toi te fait fondre... Il est si dur! Je te laisse imaginer cette levrette passionnée, autoritaire mais douce... nos corps transpirants, la sciure de l'établi qui colle parfois à nos peaux, nos râles de plaisir... c'est si bon le sexe! En tout cas tu sembles faire moins d'air que lorsque nous buvions le café quelques heures plus tôt... Je t'assois sur l'établi, les cuisses ouvertes, et tu me regardes me repaître de ton minou luisant. Alors que tu tiens tes jambes écartées, je masturbe mon sexe contre le tien, ce qui te fait énormément mouiller. Ainsi lubrifié, mon gland se présente devant ton petit trou, et je pousse pour le faire rentrer. Ca fait un peu mal, mais la sensation est si sauvage... Je t'ordonne de mettre autant de doigts que tu peux dans ta chatte pendant que je rentre par la porte de derrière centimètre après centimètre... Tes seins lourds se soulèvent au rythme de tes halètements. Ton visage défiguré par le plaisir, tu es offerte, à moi... Caresse toi! Cette petite sodomie improvisée est un vrai régal, tu te sens dilatée et béante. Une vague de chaleur monte petit à petit en toi... fontaine répands toi... dans un dernier soubresaut, tu te cambres, tu ne respires plus, et ton jus m'inonde littéralement le bas ventre... m'éclaboussant presque... tu perds notion de tout dans un orgasme puissant... Mon sexe est littéralement trempé lorsque je le sors de toi, et quelques va et vient du poignet plus tard j'explose de plaisir sur toi, ton sexe, ton ventre, tes seins, même un peu sur ton visage... nous restons interdits, essouflés, sales... dehors le silence regagne son droit dans ton jardin... Quelques instants après, lorsque je t'embrasse sur le parking en partant, tu te fiches bien de savoir ce que pourraient en penser les voisins...
Mar 22 oct 2013 Aucun commentaire