Partager l'article ! Heures supp': Grosse journée au boulot, je suis le dernier au bureau. Alors que je termine un dossier, la porte ...
Alors que je termine un dossier, la porte s'entrouvre, et te voilà
juste vêtue d'une nuisette, le regard félin, la démarche aguicheuse, faisant tourner la ceinture de soie dans ta main tes yeux dans les miens c'est d'ores et déjà torride... je suis déjà
excité et tu le sais.
Tu t'approches de moi, tu te trémousse doucement, sans que j'aie le droit de toucher. A travers le tissu je distingue ta peau bronzée qui sent encore la plage, ton ventre,
tes seins, tes tétons durcis déjà, ton minou rasé. Tu te tournes, tes fesses appellent tout mon corps. Tes cuisses brunes s'écartent et tes mains te caressent. Je sens ton souffle dans mon cou,
parfois ta peau m'effleure je suis électrique.
La porte est restée ouverte, on entend parfois quelqu'un passer dans l'escalier, mais l'immeuble est presque vide...
Tu m'enjambes comme une panthère, tes cuisses de part et d'autre de ma chaise, tu ondules... Ton minou luit à travers ta nuisette juste à hauteur de ma bouche. Tes cheveux
tombent sur mes épaules, tes seins touchent parfois mon visage. C'est lent, érotique, cruel presque, tu ne veux pas que je touche..
Tu poses tes fesses sur mon bureau derrière toi, tu te hisses dessus en poussant sans ménage tout ce qui peut te gêner! Des stylos tombent du bureau, on pourrait nous entendre dans le
couloir. Tu en ris, ta bouche est sublime, ta langue parcours tes lèvres sans aucune pudeur. Tu es là pour me faire bander, peut importe la grâce à ce stade!
Tu te caresses les seins, le ventre, les cuisses en me regardant
bouillir. Alors que je m'approche de toi, tu me repousses de tes pieds sur ma chaise. Ton pied descend sur mon torse, puis sur mon entrejambe, que tu masses à travers le jean en te
mordillant les lèvres, c'est un supplice.
Tu relèves tes cuisses une par une, et les écartes tout doucement, jusqu'à déposer tes pieds sur mon bureau. Te voilà béante devant moi, écartée comme pour un examen gynéco.
J'essaie d'approcher mais tu me repousse vicieusement du pied. Tu bouges sensuellement tes hanches pour m'attirer avec ta chatte. J'ai les yeux plongés dedans, j'aimerai m'y jeter. Ton clito est
tou gonflé, il semble frémir. Tes lèvres sont luisantes de ton jus qui commence à couler sous le poids de mes yeux. C'est si intenses, tu me domines complètement.
Tu m'ordonnes de défaire ma ceinture, ma braguette. Je baisse mon
caleçon et ma bite bondit comme un diable au dehors de sa boite. Tu ne veux pas que je la touche. Je suis là, dressé devant toi, assis sur ma chaise, on dirait que mon gland va exploser tout seul
tellement il est gonflé. Je meurs d'envie de me toucher mais tu refuses. Quelques centimètres séparent ta minette de ma queue, et je sens presque la chaleur de ton jus le long de ma verge.
Nos souffles sont haletants, l'excitation est à son comble c'est bestial
Tu lèves ton doigt, et l'amène à ta bouche doucement (une éternité) pour l'y faire rentrer entre tes lèvres pulpeuses. Tu le suces devant moi, c'est intenable, il ressort entre
tes dents, belle tigresse. Ton doigt descend entre nous, le temps s'est arrêté il entre puissamment dans ta chatte -un jappement s'échappe de ta bouche. Le doigt ressort, on dirait
que ta main entière est luisante tellement tu mouilles... Tu lèches tes doigts avec un air de vraie gourmande, puis tu en replonge trois d'un coup. Tu les secoues à l'intérieur, on entend le
flic-floc de ton jus tu commences à gémir et moi je n'en peux plus de cette torture ! Tu ris de bonheur...
Soudain ton expression change en quelque chose de limite agressif.
Tu essuies ta main pleine de mouille sur ma bouche et mon visage. Tu attrapes mes cheveux, me tires lentement à toi, et en approchant ta bouche de la mienne tu me dis entre les dents "fais
moi jouir...". C'est autoritaire, je n'ai pas le temps de réagir que tu me forces a te faire un cuni. C'est complètement animal. Mon visage plonge littéralement entre tes
cuisses.Tout de suite ton jus envahit ma bouche, l'odeur de sexe brut m'enivre ! Ma langue remonte ta fente dilatée de bas en haut,et attrape ton clito par en-dessous avant de tourner
autour. Tu fermes les yeux, et je sens l'intensité de ta poigne dans mes cheveux varier à mesure de tes spasmes de plaisir. Tu dégoulines comme je ne savais même pas que c'était possible. Tu
pousse ma langue au fond de toi, je suis prisonnier de tes cuisses et de tes mains j'ai l'impression que la moitié de mon visage est entrée entre tes lèvres. Je suis ivre de bonheur, ça
glisse, ça sent, ça fait splich-splach et je t'entends râler de plaisir. Si quelqu'un nous entendait...
Tu sens la chaleur gagner de ton bas-ventre à progressivement tout ton corps... Ma langue est au fond de ta chatte, elle remue et tournoie, flatteuse et vicieuse. Tu te laisse
aller... Je reprends mon souffle une seconde pour t'embrasser, ma langue pénètre dans ta bouche, elle a ton goût, c'est sale et bon, ça te rends folle...
Ta main trouve ma queue et coulisse brièvement dessus, experte. Je suis dur comme l'acier... Je replonge entre tes jambes, et cette fois je gobe littéralement ton clitoris. Il est au
centre de ma bouche, je l'aspire, le titille, ma langue l'agresse, je lui fait sa fête! Comme une ventouse je le suce et je te sens perdre le contrôle. C'est absolument bestial, tu entends
des bruits de fluides. Le rythme s'accèlère, la succion se fait plus forte. Tu trembles, je sens tes jambes qui chancellent. Tu vois tout noir et tu gémis comme une chienne. Je me régale à
te bouffer la chatte...
Quand tu sens la vague finale arriver, tu me pousses brutalement en arrière sur ma chaise. Tu te laisses glisser à califourchon sur moi. Ma bite est toute prête et n'attend plus que
toi. Je suis littéralement englouti entre tes cuisses en une seconde, il y fait chaud et humide là dedans...
Du premier mouvement tu te la rentres bien à fond. Tu sens chaque centimètre contre tes parois et mon gland au plus profond de toi qui frémit - c'est trop ! Une vague de jus s'échappe
des tréfonds de ton être, coule le long de ma verge, déborde de nos parties intimes, se propage tel un raz-de-marée sur mon pubis, innonde mes couilles, mes cuisses, la
chaisse, c'est l'orgasme ! Ta voix grave feule comme une panthère, tu es chancelante: c'est si BON !
Tu restes quelques instants à reprendre ton souffle, le temps d'atterrir et de reprendre tes esprits... Je suis encore dur en toi. Tu rougis presque... épuisée... heureuse...
femme.
Tu te retires, vidée, et découvre ma bite au
garde-à-vous, luisante de tes fluides...
La pénétration était si rapide que je n'ai pas
joui!
Comment vas-tu me rassasier à mon tour? :-)
xoxox