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Mardi 22 octobre 2 22 /10 /Oct 18:09

dans le fracas du naufrage nous n'avons rien emporté!

scène de panique, tout le monde court sans savoir où 
tu me suis terrifiée, tout ceci semble irréel
nuit cauchemardesque ou chacun lutte pour soi
ta main dans la mienne tu me suis partout
de l'eau qui monte bientot jusqu'au genoux
sur le pont la tempete fait rage avec grand bruit
attends moi ici je vais nous sortir de la
entre les eclairs tu m'observes
je hurle auprès d'un matelot sous le tonnerre
nous décrochons avec peine un canot
il s'extirpe difficilement du bateau
l'homme saute à bord et découvre l'habitacle
je reviens près de toi
je te hurle de me suivre
toi comme paralysée dans ta petite robe de nuit détrempée
tu ne réagis plus tellement tu as peur
ma main agrippe la tienne avec force
tu enjambes le pont et te laisse pousser dans la chaloupe
le matelot t'aide à grimper à bord
quelques instants plus tard nous disparaissons dans l'obscurité
la tempête est à son comble
et déjà notre bateau est englouti par les flots
épuisée tu finis par t'assoupir contre moi
la nuit noire en mer!
une lumière blanche te chauffe le visage
tu es éblouie et peine à voir autour de toi!
tu entrouvres les yeux doucement...
aie ta tête! tu as du te cogner.
le naufrage! tu te souviens d'un coup!
ou es tu ?
une silhouette devant toi, puis deux
tu m'aperçois de dos, affairé a l'avant de la barque
torse nu sous le soleil, je suis occupé
tu distingues une forme devant moi
une queue de requin, serait-ce possible ?
contre le bord de la chaloupe un harpon sèche, encore tâché
tu entends à peine ma voix
mais ce n'est pas a toi que je parle!
il y aurait quelqu'un d'autre a bord?
tu tournes les yeux
un homme est assis sur une caisse juste devant toi
qui est-ce ?
il me parle sans cesse
mais il te fixe intensément
il ne semble pas avoir vu que tes yeux sont à moitié ouverts
mais que regarde t il ???
soudain tu réalises que tu es allongée au fond de la chaloupe
vêtue seulement de ta petite nuisette
dans la précipitation de la catastrophe tu n'avais rien emporté
le soleil chauffe ta peau
la nuisette remonte jusqu'au milieu de ton ventre
laissant tout le bas de ton corps nu et offert à ses yeux
cela doit faire des heures que tu dors ainsi
les cuisses écartées! le salaud en profite
ta petite chatte lisse est au soleil pour lui, bel homme
il te matte allégrement et dans la douceur de cette journée tu aimes
ton petit minou commence à mouiller
et toi les yeux mi-clos tu espère qu'il le remarque...
des échanges de voix entre lui et moi 
des rires, on parle peut etre de toi?
ma voix se rapproche 
et bientot un baiser sur ta bouche
réveille toi, il y a beaucoup a faire ma jolie
mais tu frémis de plaisir et je vois tes tétons durcir
je parle avec l'homme encore et tu entends un bruit de braguette
ma bouche susurre a ton oreille "le reste on verra plus tard...
pour l'instant ouvre les yeux..."
ma main descend sur ton ventre brûlant et file droit entre tes cuisses
elles sont bien écartées et tu vibres en me sentant arriver
tu ouvres enfin les yeux pour découvrir l'homme a un mètre de toi
sa bite énorme dressée dans sa main
tu coules instantanément au bout de mes doigts
je joue avec ton clito, tu es offerte en spectacle
et lui se branle en te regardant mouiller
mes doigts te fouillent profondément
et lui durcit à vue d'oeil, tu n'en peux plus!
tu aimes te faire mater...
la mer berce l'embarcation et tu peines à te relever quand je te l'ordonne
autour de nous l'horizon bleu a perte de vue
au dessus un soleil ardent
derrière toi tu sens que je m'installe
avant que tu réalises ma queue est entre tes fesses
et je t'enfile d'un coup sec
personne à des kilomètres à la ronde pour t'entendre gémir!
debout sur la chaloupe tu t'offres en levrette
et juste devant nous l'homme se branle énergiquement
"suce le" te dis-je
mais tu hésites
il s'approche de toi l'air fâché
il sort une dent de requin et la plaque sous ta gorge
"ton mec t'as dit de me sucer..."
il t'embrasse fougueusement, un peu violemment
la dent de requin froide sur ta peau
délicieuse agression
il te prend par les cheveux et te plie
sa verge cogne ton visage
il ouvre ta bouche de ses gros doigts et s'engouffre dedans
je veux te voir bien le sucer
car chaque fois que tu le prends bien dans ta bouche
je te baise plus profondément derrière
cercle vicieux infernal
tu ne sais plus ou donner de la tête!
son sexe est énorme dans ta bouche
tu essaies de le satisfaire au mieux
derrière mes couilles tapent contre tes fesses
la chaloupe tangue lentement
doublement possédée tu ne tardes pas à jouir coquine
tu es si trempée ça devait arriver!
quelques secondes après tu sens mon jus chaud t'envahir
a coups de jets puissants au fond de ton ventre
suce l'homme encore j'ai dit
puis je me retire et tu t'accroupis
je veux voir ta main te caresser et récolter mon jus qui sort déjà de toi
c'est obscène et tu adore
regarde moi bien dans les yeux
l'homme dans un râle s'abandonne
et son sperme chaud macule ton visage et ta bouche
nettoie bien ma jolie
car qui sait combien de temps nous allons dériver ainsi
prisonnière de ce bateau avec deux hommes
assoiffés de ton corps
tu vas devoir nous satisfaire pendant des semaines pour ta survie
ce soir il y a du requin frais à manger...
si tu le mérites!
Par anecdotescoquines
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Mardi 22 octobre 2 22 /10 /Oct 17:38

A force de te tanner pour qu'on se rencontre, tu as fini par accepter - mais juste pour boire un verre hein! Pas de blague. Je te rencontre donc dans un café près de chez toi, et à ta grande surprise tu me trouves agréable, en fait je te fais beaucoup rire. Mes incessants compliments te fond enfin rougir au moins une fois, ou bien est-ce le vin ?

Par ce bel après-midi d'été, tu dis devoir me laisser car l'entretien de ton jardin t'attends - je parie que tu adores les fleurs.
 Alors que tu quittes la table, un peu pressée, mais un peu déçue de gâcher ce beau moment, je te proposes mes services pour travailler un peu à ton jardin. Tu rougis, hésites, et finit par accepter: d'accord, mais juste du jardinage hein? Oui, si tu paies l'apéro ensuite avant que je file. 
En route vers chez toi, tu me vois te suivre dans ton rétro, et une certaine tension t'animes, inexplicablement. Mais qu'est-ce qui t'as pris d'accepter ?
Deux heures plus tard, je sens tes yeux sur moi à travers la baie vitrée qui donne sur le jardin. J'ai transpiré à planter des tulipes sur un massif dans ton jardin, et je dois définitivement enlever mon t-shirt pour ne pas fondre au soleil. Tu ne perds pas une miette du spectacle, ma peau bronzée, les muscles tendus par l'effort... Oui il est plus jeune, quelle folie, mais à le regarder comme ça, tu apprécies beaucoup le spectacle... Mais que dis tu, tu divagues, retournes vite sur ton ordinateur. Troublée.
En fin d'après-midi, chose promise chose due, tu sors deux bières du frigo et viens me rejoindre dans le jardin. Vide! Ou est-il? Du bruit dans l'abri de jardin, je suis en train de ranger les outils. En passant la tête par la porte, tu restes à m'observer au fond de la cabane, torse nu, le pantalon accroché si bas sur la taille que tu crois discerner le haut de mon pubis, et en dessous... tes yeux croisent les miens et tu vires écarlate. Je saute sur l'occasion.
Je m'approche de toi et te remercie pour la bière, que me regardes porter à ma bouche sensuellement. Je suis si près que tu peux me sentir. Dans la pénombre de la cabane, nous sommes seuls... 
Tu remarques mes yeux qui dérivent sur toi. Parée de ta petite robe printannière, tu n'as même pas de soutien-gorge. Je vois tes seins qui tendent la toile à quelques centimètres à peine de moi. L'excitation est à son comble. Que va-t-il se passer? Cette bière dans la chaleur te tourne la tête...
Tétanisée, tu ne réagis pas quand je dépose ma bouteille sur l'établi. Lentement, je m'avance vers toi, et tu restes interdites. Ma main ôte ces cheveux devant ton visage, puis attire ta bouche vers la mienne. Non! Ce n'est pas bien, dis non! Trop tard. Le baiser est si tendre qu'il t'électrise. Nos langues se rencontrent et dansent. Mes mains glissent sur ton dos, tes épaules. Les yeux fermés, tu t'abandonnes. Instant passionnel où le désir se fait réalité. Une de mes mains prend ta bière et la dépose. Tes mains libres sont guidées sur mon torse. C'est chaud et doux, tu n'avais pas caressé de comme ça depuis bien des années. Je dévore ta bouche, je te sens respirer plus fort.
Contre ton ventre tu sens une bosse qui durcit dans ton pantalon. Ohlalala mais qu'est-ce qu'il se passe!
Avant que tu aies le temps de dire ouf, je prends ta main et la pose dessus. A travers la toile tu sens mon sexe déjà tendu de désir...
Tu n'as pas vraiment le contrôle de la situation, je n'arrête pas de t'embrasser en te serrant contre moi! La situation est embarrassante, mais si naturelle... Mes doigts sur ta peau t'électrisent. Ils se glissent sous les bretelles de ta robe et les font glisser sur tes épaules. La robe glisse sur tes courbes et tombe par terre! Te voilà en petite culotte devant moi avant même d'avoir eu le temps de comprendre ce qu'il se passe!
Ta poitrine superbe est ardente lorsque mes mains s'en emparent. Mes mains un peu râpeuses, mais si attentionnées... tu pointes de plaisir. Quelle chaleur! Nous transpirons allégrement à l'ombre. Ton souffle dans mon cou me rend plus dur que jamais. Abandonnée, tu ne protestes pas lorsque je prends tes mains pour les glisser sous l'elastique de mon pantalon et le faire glisser vers le bas. Tu découvres mes fesses, jeunes et rebondies, et tes mains en profitent allégrement, cela t'excite. Je te fais descendre mon caleçon jusqu'à mi-cuisses. Tel un diable hors de sa boite, mon sexe tendu bondit vers toi. Tu le sens contre ton ventre, tu te presses contre lui. Mes mains, sur tes fesses, les écartent légèrement. Je devine ton minou contre ma cuisse...
Mes mains appuient sur tes épaules pour t'intimer de t'agenouiller. Comme un ordre plutôt. Tu aimes te sentir dominée... tes lèvres embrassent mon cou, mon torse, mon ventre... et tu te retrouves nez à nez avec mon sexe. Appuyé contre l'établi, le pantalon sur les genoux, je regarde ma bite disparaitre dans ta bouche. Toi, si belle et plantureuse, seulement vêtue de ta culotte, accroupie devant moi pour mon plus grand plaisir... Tu n'avais rien vu venir, et te voilà fière de me prodiguer des coups de langues expert. Je parie que tu adore sentir un sexe grandir et durcir dans ta bouche... tu te régales, et mes premiers râles de plaisir te décomplexent complètement. 
Tu es une experte! ta main masse mes bourses, tes doigts coulissent sur ma tige, et toi tu m'avale et m'aspire sans retenue. Seuls les bruits de succion et mes gémissements s'entendent au fond du jardin... ça t'excite... mes yeux se perdent dans les tiens alors que tu me fixe en me suçant. Divine...
Je te relève et te retourne, dos à mois, les mains appuyées sur le plan de travail. Ma bouche dévore ton cou, et déjà contre tes fesses tu sens le résultat de ton travail: mon sexe est plus grand et dur que jamais contre tes fesses. Tu fonds de plaisir et ondule tes hanches contre moi! Tes seins rebondissent dans mes mains, tes tétons durcissent en roulant entre mes doigts, et toi tu te lâches....
ma bouche descend dans ton dos, embrasse tendrement tes fesses tandis que ta culotte glisse le long de tes cuisses. Cambre ma jolie, ouvre moi tes fesses. J'aperçois devant moi ton minou lisse et ton petit trou, et je souris en t'entendant exprimer ton plaisir lorsque ma langue remonte entre tes fesses la première fois. La fougueuse langue de la jeunesse! Tes jambes tremblent, tes yeux se ferment. Chaude et humide, ma langue te fouille sans retenue. Tu coules de plaisir, et je me régale. Ton petit trou n'est pas timide lorsqu'elle lui rend visite. Cambre plus encore, ma langue entre en toi. Caresse toi en même temps. Magnifique... La situation est si obscène que tu lâches prise. Une vague de chaleur envahit ton ventre, et ta voix fébrile exprime un orgasme inattendu... te faisant dévorer la croupe par un jeune inconnu dans ton abri de jardin... tu ne l'avais pas vue venir celle là!
Alors que tu reprends ton souffle, mes mains agrippent tes hanches, et le plaisir revient: tu sens mon sexe se présenter devant le tien, pousser la porte d'entrée... je rentre sans difficulté, tu es si humide à vrai dire! Je tire sur tes hanches pour rentrer le plus profond possible, j'attrape meme tes bras en arrière pour avoir meilleure prise. Tu es complètement soumise, et la vigueur de mon sexe tendu en toi te fait fondre... Il est si dur!
Je te laisse imaginer cette levrette passionnée, autoritaire mais douce... nos corps transpirants, la sciure de l'établi qui colle parfois à nos peaux, nos râles de plaisir... c'est si bon le sexe! En tout cas tu sembles faire moins d'air que lorsque nous buvions le café quelques heures plus tôt...
Je t'assois sur l'établi, les cuisses ouvertes, et tu me regardes me repaître de ton minou luisant. Alors que tu tiens tes jambes écartées, je masturbe mon sexe contre le tien, ce qui te fait énormément mouiller. Ainsi lubrifié, mon gland se présente devant ton petit trou, et je pousse pour le faire rentrer. Ca fait un peu mal, mais la sensation est si sauvage... Je t'ordonne de mettre autant de doigts que tu peux dans ta chatte pendant que je rentre par la porte de derrière centimètre après centimètre... Tes seins lourds se soulèvent au rythme de tes halètements. Ton visage défiguré par le plaisir, tu es offerte, à moi... Caresse toi! Cette petite sodomie improvisée est un vrai régal, tu te sens dilatée et béante. Une vague de chaleur monte petit à petit en toi... fontaine répands toi... dans un dernier soubresaut, tu te cambres, tu ne respires plus, et ton jus m'inonde littéralement le bas ventre... m'éclaboussant presque... tu perds notion de tout dans un orgasme puissant...
Mon sexe est littéralement trempé lorsque je le sors de toi, et quelques va et vient du poignet plus tard j'explose de plaisir sur toi, ton sexe, ton ventre, tes seins, même un peu sur ton visage...
nous restons interdits, essouflés, sales... dehors le silence regagne son droit dans ton jardin...
Quelques instants après, lorsque je t'embrasse sur le parking en partant, tu te fiches bien de savoir ce que pourraient en penser les voisins...
Par anecdotescoquines
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Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 22:22

On avait 18 ou 19 ans, on faisait des fêtes d'étudiants... Il y avait une très bonne amie à moi, avec qui il ne se passait rien, mais on se confiait tout sur le cul depuis notre adolescence.

On boit, on fume, on rit, on danse, et surtout on met un bordel pas possible chez moi! Elle part parmi les derniers convives. Desesperée de ne pas remettre la main sur ses lunettes... Je l'aide un peu à chercher, sans succès vu notre état réciproque, puis elle me lance avant de s'en aller: "si tu retrouves mes lunettes, je te tailles une pipe!". 

Chiche, j'ai pensé... Enfin on délirait toujours sur les histoires de cul, c'était pas sérieux.

N'empêche qu'en rangeant le lendemain matin, j'ai retrouvé ses lunettes sous le meuble de la télé... je lui ai envoyé un texto pour lui annoncer la bonne nouvelle, sans arrière pensée aucune.

Le lendemain, on toque à ma porte, j'ouvre, elle est là, toute jolie avec sa petite jupe. Elle entre, on fume une clope, on parle un peu, puis en riant je sors ses lunettes que je mets sur mon nez. Elle sourit, tend la main pour les récupérer, et moi je plaisante encore.

Elle change d'air, elle s'approche de moi, s'agenouille devant moi. Je suis mort de rire, c'est une de mes meilleures potes, pas possible !

N'empêche qu'elle me fixe dans les yeux et défait ma braguette. Je ris encore quand ses doigts glissent dans mon caleçons pour sortir mon membre. Quand elle le met dans sa bouche, je réalise soudait que c'est pour de vrai...

Dans le silence de ma chambre, je n'entendais que sa bouche qui m'aspirait. Elle s'est appliquée, c'était si bon - c'était une de mes premières pipes à l'époque ! Je revois son visage rougir quand elle me regardait en me suçant... Quand j'ai senti que j'allais venir, elle m'a branlé et j'ai joui sur mon jean. On n'osait pas se parler quand la tension est redescendue... Elle a récupéré ses lunettes sur mon nez, les a remises, et: "et voilà!" 

J'ai rangé mon engin et on a fumé une cigarette ensemble. Mélange de malaise et de plaisir complice... superbe.

On est devenus amants pendant mes 3 premières années de fac, une des filles les plus chaudes que j'ai connues ! Je vous raconterai d'autres coups qu'elle m'a fait plus tard...

Par anecdotescoquines
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Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 22:22

Quand ils m'ont ouvert la porte, j'ai immédiatement su que cela allait bien se passer. Lui était un bel homme aux tempes argentées, et elle devait avoir entre 25 et 30 ans, une belle tigresse à la peau mate et aux cheveux noirs qui tombaient sur ses énormes seins. Tous deux élégants, fidèles à ce qu'ils m'avaient annoncés lors de nos premiers contacts par mail.

J'ai déposé mon matériel vidéo dans un coin de la chambre d'hôtel, elle m'a ôté mon manteau, il m'a servi une coupe de champagne. L'ambiance aurait pu être un peu nerveuse, un peu froide, mais ils ont su dissiper notre malaise à tous les 3 avant même qu'il ne montre son nez. Ils étaient amants, un couple aussi beau qu'illégitime, on s'était rencontrés sur un site, et ils avaient décidé de faire appel à moi pour faire un film de leurs ébats. 

Après plusieurs mails et coups de fils, on se rencontrait enfin, non sans trac, mais les bulles et les présentations ont tout de suite mis l'ambiance. Je ne savais pas trop par où commencer, le lit trônant oppressant au milieu de la chambre, comme un rappel monstrueux de la raison de notre présence.

Il est parti dans la salle de bain, elle m'a poussé contre le mur et m'a embrassé soudainement de ses lèvres charnues et fraîches. Sa main est passée immédiatement sur mon membre, déjà dur à travers le jean.

Quand il est sorti de la salle de bain, elle s'était retournée, ni vue ni connue, et il ne s'est douté de rien. Je ne savais pas si c'était convenu entre eux ou pas, mais j'étais sacrément excité...

Il est donc revenu en peignoir, un petit sourire au lèvre, et il l'a enlacée pour l'embrasser devant moi. J'ai sorti ma caméra et préparé mon matériel pendant qu'il la réchauffait un peu.

Quand j'ai été prêt, je lui ai fait un petit signe, et il a commencé à la caresser sous ses vêtements, à remonter sa petite robe pour découvrir ses fesses, à tirer doucement sur son string. Dans mon viseur, leurs langues se sont entrelacées, et elle laissait échapper de petits gémissements sourds chaque fois qu'il écartait ses fesses dans ses mains.

Elle s'est abaissée, je me suis rapprochée d'elle, elle a ouvert son peignoir et le membre de monsieur à surgi comme un diable de sa boîte, prêt à l'emploi. J'ai dit à la jeune panthère de me regarder, et une étincelle s'est allumée dans ses yeux quand elle à réalisé que la caméra allait tout enregistrer. Elle a englouti la bite d'un seul coup dans sa bouche, jusqu'à plus de la moitié, et elle a commencée à lui faire une pipe d'enfer devant moi. J'étais excité comme jamais d'assister à ça. Elle le suçait divinement, fière devant l'objectif, sa bouche baveuse et pleins de bruits de succion pour rendre le tout plus animal. Elle fixait la caméra droit dans les yeux, et j'avais l'impression que c'est moi qu'elle suçait - ça devait se voir d'ailleurs. 

Pour ne pas être en reste monsieur lui a attrapé les cheveux délicatement et a donné lui-même la cadence de la fellation en entrant et sortant son membre de la bouche de son amante. Divin. Elle a commencé à se touché par en dessous, la main dans sa culotte.

Après quelques minutes de ce traitement, monsieur l'a portée sur le lit, à 4 pattes, a relevé sa robe et baissé son string le long de ses cuisses. Il s'assurait tout le temps que j'étais au bien placé pour filmer la scène, et m'attendait ou me laissait plus de place pour garantir le résultat. Elle avait un minou rasé de prêt, un délicieux abricot d'amour, déjà bien juteux, surmonté d'un petit trait de poils noirs, des plus sexy.

Il a bien écarté ses fesses avec ses doigts, et il a passé sa langue sur son clito, le long de sa fente, sur ses lèvres, jusqu'à son petit trou. Elle a râlé de plaisir. Je me demandais par quel miracle je pouvais bien être en train d'assister à un tel moment d'intimité. Il a fouillé son minou avec sa langue, et elle, offerte, gémissait les yeux mi-clos sur les draps. Je filmais tantôt son visage se déformant de plaisir, tantôt la langue de son homme pénétrant son minou. Entre les deux, la cambrure exquise de son dos, ses jeunes courbes délicieuses, sa peau fraîche et satinée...

Quand il a été rassasié, l'homme s'est relevé et s'est installé sur une chaise en face du lit. La fille a repris ses esprits, elle a fait glisser sa robe le long de ses hanches pour découvrir de merveilleux seins, puis s'est mise sur le dos, confortablement adossée aux oreillers. Ils se faisaient face, nus, j'ai décidé de saisir l'ensemble. 

La fille a sorti un vibro au design plutôt chic de la table de nuit, puis elle a commencé à le caresser, à le promener sur son corps, à le lécher tendrement... elle fixait son homme dans les yeux, et lui à l'autre bout de la chambre caressait son membre tout dur en la voyant s'affairer. Je me suis mis dans l'axe de ses yeux à elle, et elle a recommencé son jeu avec la caméra. Elle se tortillait sur le dos, écartant les cuisses au maximum, une invitation insoutenable, et je me suis rapproché jusqu'à mettre ma caméra à quelques centimètres à peine de sa chatte. Ca l'a excitée au plus au point, elle a donc commencé à s'insérer le vibro sans plus attendre. Je vous laisse à peine imaginer le supplice merveilleux d'assister à la masturbation d'une aussi jolie fille, avec la bénédiction de son amant, si librement. L'engin disparaissait dans sa chatte pour ressortir luisant, et disparaître dans sa bouche ensuite. La séance à duré bien 10 minutes, et le moins qu'on puisse dire et que mademoiselle était parfaitement prête et ouverte pour recevoir son homme en elle quand il est enfin venu!

Il l'a baisée en missionnaire, moi filmant entre ses jambes, puis par dessus, puis plus large. J'étais excité au possible. Ils étaient en parfaite harmonie, un couple expérimenté au lit, qui semblait bien se connaître. Elle se laissait aller, ses longs cheveux répandus sur les draps, les tétons durcis par le plaisir, elle regardait son homme l'empaler de ses coups de boutoir avec le regard confiant. Je tournais autour du couple en sentant la tension monter... difficile de se concentrer, mais j'essayais de rester professionnel ! Je semblais en tout cas avoir disparu à leurs yeux, je pouvais me placer où je voulais sans réaction de leur part. 

Elle l'a chevauché ensuite, impériale, cambrée et douce, et lui agrippait ses fesses pour l'inciter à augmenter la cadence. Sa bite était grosse et la fille semblait heureuse... j'ai pris beaucoup de plaisir à les filmer.

Après quelques minutes, ils se sont relevés, se sont murmuré quelque chose à l'oreille, puis il est reparti dans la salle de bain. Elle est restée sur le lit, ses doits entre ses cuisses, et nous avons parlé un peu de comment ça se passait pour tout le monde, cette première fois en vidéo... J'avais un mal de chien à lui parler comme si de rien était alors que la minute d'avant elle se faisait enfiler, et que là elle était superbe, nue et en train de se masturber devant moi!

Il est revenu avec un tube de lubrifiant, et quand elle s'est mise à 4 pattes j'ai compris ce qui se tramait... Le grand jeu aujourd'hui, pour la vidéo. J'ai donc filmé monsieur s'enduire le membre de lubrifiant, puis verser un peu du liquide entre les fesses de sa maîtresse. Vision de rêve en gros plan... Il a joué avec ses doigts dans son petit trou, puis il est entré dans son cul sans difficulté - à mon avis elle avait l'habitude de lui offrir son petit trou !

J'ai enlevé mon t-shirt car la température était soudain montée. Monsieur prenait sa maîtresse par le cul devant moi, j'étais écarlate entre gêne, voyeurisme et excitation, enfin j'ai essayé de filmer la sodomie du mieux que j'ai pu. Ils semblaient prendre leur pied ces deux-là... La bite entrait jusqu'au fond entre les fesses rebondies de la beauté, et celle-ci semblait pousser pour l'avoir encore plus profond. Je me suis assis devant elle, sur l'oreiller, pour filmer son visage qui se crispait à chaque coup de boutoir, et avoir l'homme en arrière plan par dessus son épaule. C'était terriblement excitant...

Elle s'est retournée brièvement, et je n'ai pas vu ce qu'elle lui a dit, mais il a semblé acquiescer quelque chose tout en la baisant. Quand sa tête s'est retournée vers moi, je n'ai pas eu le temps de réagir qu'elle avait ouvert mon jean et aspiré mon membre. Il n'avait jamais été question que je participe ! Je ne savais pas quoi faire, je ne savais même pas si j'étais libertin jusque là, enfin voilà, elle me suçait maintenant! Et son homme qui regardait la scène en l'enculant, j'étais pris au piège... mais que ce fut bon! A chaque fois qu'il l'enculait, elle m'aspirait plus profond. Du coup j'ai filmé ma pipe aussi... c'était terriblement chaud! Evidemment, pris de court, je l'ai prévenu que j'allais craquer bientot pour me retirer. En m'entendant, son homme à accéleré la sodomie, elle a accéléré ses coups de langue, et sans avoir le temps d'y penser, j'ai joui dans sa bouche et sur ses joues. In-ten-se ! Elle était écarlate de plaisir, mon foutre sur ses lèvres, ses fesses rougies par les fessées de son amant, béantes de plaisir.

Je n'osais pas regarder l'homme, comme si j'avais souillé sa femme ou je ne sais pas pourquoi... Avant d'avoir eu le temps d'y penser, il s'est retiré d'elle, est monté sur le lit, et s'est branlé au-dessus de sa bouche pour jouir à son tour. J'ai filmé à 10 centimètres à peine son explosion de plaisir dans la bouche déjà tachée de la fille... absolument bestial ! Magique, sexy, sale, wouaw, quelle expérience...

J'ai quitté l'hotel sur un nuage.

 

J'ai du me masturber 10 fois en revoyant les images sur mon banc de montage, puis je leur ai envoyé le DVD de leur partie de jambe en l'air... ils m'ont dit que j'avais été très bien dans le second rôle ! Je crois qu'ils ont posté la vidéo sur leur nouveau blog, je vous la posterai s'ils me le permettent...

 

On s'est revus une fois en ville un soir, pour se rappeler cet scène mémorable. Ils sont si sympas tous les deux! 

Au restaurant, il m'a quand même demandé de glisser ma main entre les cuisses de son amante sous la table. Elle n'avait pas de culotte, il m'a demandé de lui enfiler un doigt dans la chatte pendant qu'on commandait le plat... vive le libertinage !

Par anecdotescoquines
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Mercredi 28 septembre 3 28 /09 /Sep 23:10

A Paris, anniversaire d’une pote au resto. On est une quinzaine, on parle fort et on picole un peu. Ambiance petite taverne au coeur de la ville, un soir de semaine. Elle vient prendre la commande, sublime, jean et t-shirt, brune à souhait. Nos yeux se croisent rapidement au milieu de toutes les commandes, quelque chose passe instantanément. Je sors fumer une clope avec les fumeurs, la voilà qui arrive dans mon dos : elle a mal noté nos commande et réinterroge tous le monde. « Sauf lui, je sais ce qu’il a pris » dit-elle, sa main sur mon dos, discrètement sous mon t-shirt. Wouaw, En mangeant, je l’observe qui s’affaire au bar, et chaque fois que nos yeux se croisent l’un de nous détourne le regard.

Elle est vraiment craquante. Il y a du monde, la soirée tourne bien. Deux heures plus tard, on enchaîne les rhums au comptoir, elle offre un verre à tous les candidats. J’ai droit à ma dose directement versée dans la bouche depuis la bouteille, elle boit juste après moi sans me regarder, mais j’ai compris le signe. Un peu plus tard, je vais pisser, et en sortant je la croise qui remonte de la cave avec des bouteilles. C’est un petit bout de couloir en recul, d’où personne ne devrait nous voir. Je suis surpris de tomber sur elle, mais elle visiblement pas – elle avait peut-être préparé son coup. Le temps que je réagisse, dans ce petit couloir étroit, je cherche quelque chose à dire, mais elle a déjà posé son fardeau et m’attire contre elle pour que je la plaque contre le mur. Bouffée de chaleur, elle m’embrasse sans prévenir.

Nos langues s’emmêlent, elle passe sa main sous mon t-shirt, puis sur mes fesses pour m’appuyer contre elle. En quelques secondes, me voilà fouillant sa bouche avec ma langue sans retenue, et nos bassins font des mouvements langoureux l’un contre l’autre. Elle respire fort, ses yeux sont de braise, et mes mains se retrouvent sous son t-shirt, à pincer ses tétons extirpés de son soutien-gorge à là va vite. Quelqu’un arrive, l’étreinte s’arrête aussi vite qu’elle a commencée, pas vu pas pris. Elle disparait dans la salle avec ses bouteilles, et moi je reste une bonne minute à attendre que la bosse dans mon slip disparaisse avant de rejoindre mes amis.

La soirée s’éternise, je ne suis plus vraiment présent, obsédé par elle. Elle ne me jette plus un regard, occupée à terminer son service. Elle semble m’ignorer et c’est terriblement érotique.

Deux heures du mat, on est plus que quelques uns à boire des coups au comptoir. Elle range la salle, remet les chaises sur les tables. Le patron veut fermer, elle lui dit « t’inquiètes, ce soir je ferme » en me regardant dans les yeux pour la première fois depuis une heure. Une demi-heure plus tard, alors qu’elle à bien fini la soirée à la tequila avec nous, je dis au revoir dehors à mes potes qui s’en vont. Je me retourne, elle lave les derniers verres derrière moi, seule dans le resto. Je rentre, un peu tendu, on se boit encore un rhum. Du rock et nous deux. Elle éteint petit à petit les lumières, mais je suis encore dedans quand elle baisse le rideau métallique qui ferme la boutique.

Pendant qu’elle passe un dernier coup d’éponge sur le comptoir, je m’approche d’elle dans son dos et pose mes mains sur ses hanches, sans trop savoir ce qui va se passer. Elle se retourne, peine d’énergie à l’heure qu’il est, et on s’embrasse à nouveau. Les caresses vont bon train, elle m’embrasse dans le coup, et mes mains glissent sous son jean, sur ses fesses. Elle commence à déboutonner ma chemise, toujours sans un mot. Je veux reprendre la situation en main, je la soulève et l’assoit sur le comptoir. Elle sourit, ivre de plaisir, et m’enlève définitivement ma chemise.

En guise de réponse je lui enlève ses bottines et m’attaque aux boutons de son jean. Elle s’allume une clope, pas farouche. Le jean glisse sur ses cuisses à la forme parfaite, on s’enlace, puis son string suit le chemin. Je sens d’ici qu’elle est super excitée aussi.

Je la pousse tendrement en arrière et m’installe sur le tabouret par miracle juste à côté de moi. Elle s’allonge sur le comptoir, les yeux fermés, tirant sur sa clope avec une sensualité incroyable. J’écarte doucement ses cuisses, et je découvre une belle petite chatte épilée, un petit trait de poil au-dessus de la fente, vision magique. Ses lèvres sont déjà luisantes, et elle écarte d’elle-même ses jambes, décidemment pas farouche. Je la sens frémir lorsque ma langue se pose sur son clito. Je remonte sa fente avec amour, elle est offerte. Je crache sur son minou, elle aime.

Je débute un cuni de rêve. Ma langue parcours ses lèvres, tourne autour de son bouton, s’immisce dans sa fente. Elle mouille abondamment et c’est un régal.  Ses mains tiennent les miennes, et elle se cambre. Je lui bouffe littéralement le minou, j’en ai de partout, elle coule de bonheur. Cela dure de longues minutes, jusqu’à ce qu’à force de sucer son clito je la sente se crisper : elle jouit, les fesses à l’air sur le comptoir, et pour la première fois je l’entends feuler comme une panthère. Déesse de la nuit, délicieuse. Pendant qu’elle reprend ses esprits, je déboutonne mon froc et enfile une capote.

Elle a toujours les yeux fermés lorsque mon gland se présente entre ses cuisses. Ca entre tout seul, moi dur comme pas permis, et elle ruisselante. Elle attrape mes hanches et me guide vers son plaisir. Les va-et-vient son un peu brutaux, elle gémit, et moi aussi je dois dire. Je regarde ma bite disparaître entre ses cuisses, puis son visage déformé par le plaisir. On baise sur le comptoir, c’est irréel. Je sors ses seins sous son t-shirt et les mange. Elle presse ma tête dans sa poitrine, elle est complètement ouverte, je la ramone plus fort, elle aime.

Elle me repousse et m’assoit sur une chaise derrière. Les yeux dans les yeux, elle enlève son t-shirt, et entièrement nue devant moi elle défait ses cheveux. Le temps s’est arrêté, elle est magnifique. Elle vient s’assoir sur moi, s’empaler sur mon dard au garde-à-vous. Elle l’engloutit d’un coup, mais je sens cette petite vicieuse appuyer de tout son poids pour l’avoir le plus profond possible. Elle plaque ma tête sur ses seins pour que je les lèche encore.

Elle ondule du bassin, moi au plus profond d’elle, et bientôt j’entends les flic flac de sa chatte autour de moi. Elle mouille tellement que je sens son jus couler sur mes couilles et mes cuisses. C’est elle qui me baise sur la chaise, et elle sait parfaitement ce qu’elle veut. Ca me rend dingue, l’atmosphère de l’endroit, la musique, l’alcool, cette serveuse inconnue en train de se servir de moi pour se faire du bien ce soir. Je sens que je vais bientôt craquer.

Elle le sens, et là ô surprise elle se retire, m’enlève ma capote d’une main experte et s’agenouille pour me prendre dans sa bouche. C’est le summum. Ma main dans ses cheveux, je gère la cadence, elle gémit la bouche pleine de mon membre, et je craque. J’envoie la purée dans sa bouche, mais elle se retire aux premières gouttes pour me branler. Je jouis sur ses seins et sur son cou. Intense, animal, sauvage, crade même.

Je reviens à mes esprits doucement. Elle continue de me branler doucement, avec beaucoup de tendresse même, pendant que mes jambes chancellent encore. Le temps s’est définitivement arrêté.

Nue, elle remonte sur le comptoir, et on s’allume une cigarette. Moi, le jean sur les chevilles, le sexe plein de fluides. Elle, nue, une lumière rouge sur la peau qui la sublime, me soufflant sa fumée de cigarette au visage, et mon jus encore sur ses seins.

Sans un mot.

Je l’aide à finir de ranger, on se rhabille, et on se roule une dernière grosse pelle dans la rue avant de partir chacun de son côté.

Le lendemain, elle ne travaillait pas... pour mon plus grand malheur !

 

Par anecdotescoquines
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