dans le fracas du naufrage nous n'avons rien emporté!
dans le fracas du naufrage nous n'avons rien emporté!
A force de te tanner pour qu'on se rencontre, tu as fini par accepter - mais juste pour boire un verre hein! Pas de blague. Je te rencontre donc dans un café près de chez toi, et à ta grande surprise tu me trouves agréable, en fait je te fais beaucoup rire. Mes incessants compliments te fond enfin rougir au moins une fois, ou bien est-ce le vin ?
On avait 18 ou 19 ans, on faisait des fêtes d'étudiants... Il y avait une très bonne amie à moi, avec qui il ne se passait rien, mais on se confiait tout sur le cul depuis notre adolescence.
On boit, on fume, on rit, on danse, et surtout on met un bordel pas possible chez moi! Elle part parmi les derniers convives. Desesperée de ne pas remettre la main sur ses lunettes... Je l'aide un peu à chercher, sans succès vu notre état réciproque, puis elle me lance avant de s'en aller: "si tu retrouves mes lunettes, je te tailles une pipe!".
Chiche, j'ai pensé... Enfin on délirait toujours sur les histoires de cul, c'était pas sérieux.
N'empêche qu'en rangeant le lendemain matin, j'ai retrouvé ses lunettes sous le meuble de la télé... je lui ai envoyé un texto pour lui annoncer la bonne nouvelle, sans arrière pensée aucune.
Le lendemain, on toque à ma porte, j'ouvre, elle est là, toute jolie avec sa petite jupe. Elle entre, on fume une clope, on parle un peu, puis en riant je sors ses lunettes que je mets sur mon nez. Elle sourit, tend la main pour les récupérer, et moi je plaisante encore.
Elle change d'air, elle s'approche de moi, s'agenouille devant moi. Je suis mort de rire, c'est une de mes meilleures potes, pas possible !
N'empêche qu'elle me fixe dans les yeux et défait ma braguette. Je ris encore quand ses doigts glissent dans mon caleçons pour sortir mon membre. Quand elle le met dans sa bouche, je réalise soudait que c'est pour de vrai...
Dans le silence de ma chambre, je n'entendais que sa bouche qui m'aspirait. Elle s'est appliquée, c'était si bon - c'était une de mes premières pipes à l'époque ! Je revois son visage rougir quand elle me regardait en me suçant... Quand j'ai senti que j'allais venir, elle m'a branlé et j'ai joui sur mon jean. On n'osait pas se parler quand la tension est redescendue... Elle a récupéré ses lunettes sur mon nez, les a remises, et: "et voilà!"
J'ai rangé mon engin et on a fumé une cigarette ensemble. Mélange de malaise et de plaisir complice... superbe.
On est devenus amants pendant mes 3 premières années de fac, une des filles les plus chaudes que j'ai connues ! Je vous raconterai d'autres coups qu'elle m'a fait plus tard...
Quand ils m'ont ouvert la porte, j'ai immédiatement su que cela allait bien se passer. Lui était un bel homme aux tempes argentées, et elle devait avoir entre 25 et 30 ans, une belle tigresse à la peau mate et aux cheveux noirs qui tombaient sur ses énormes seins. Tous deux élégants, fidèles à ce qu'ils m'avaient annoncés lors de nos premiers contacts par mail.
J'ai déposé mon matériel vidéo dans un coin de la chambre d'hôtel, elle m'a ôté mon manteau, il m'a servi une coupe de champagne. L'ambiance aurait pu être un peu nerveuse, un peu froide, mais ils ont su dissiper notre malaise à tous les 3 avant même qu'il ne montre son nez. Ils étaient amants, un couple aussi beau qu'illégitime, on s'était rencontrés sur un site, et ils avaient décidé de faire appel à moi pour faire un film de leurs ébats.
Après plusieurs mails et coups de fils, on se rencontrait enfin, non sans trac, mais les bulles et les présentations ont tout de suite mis l'ambiance. Je ne savais pas trop par où commencer, le lit trônant oppressant au milieu de la chambre, comme un rappel monstrueux de la raison de notre présence.
Il est parti dans la salle de bain, elle m'a poussé contre le mur et m'a embrassé soudainement de ses lèvres charnues et fraîches. Sa main est passée immédiatement sur mon membre, déjà dur à travers le jean.
Quand il est sorti de la salle de bain, elle s'était retournée, ni vue ni connue, et il ne s'est douté de rien. Je ne savais pas si c'était convenu entre eux ou pas, mais j'étais sacrément excité...
Il est donc revenu en peignoir, un petit sourire au lèvre, et il l'a enlacée pour l'embrasser devant moi. J'ai sorti ma caméra et préparé mon matériel pendant qu'il la réchauffait un peu.
Quand j'ai été prêt, je lui ai fait un petit signe, et il a commencé à la caresser sous ses vêtements, à remonter sa petite robe pour découvrir ses fesses, à tirer doucement sur son string. Dans mon viseur, leurs langues se sont entrelacées, et elle laissait échapper de petits gémissements sourds chaque fois qu'il écartait ses fesses dans ses mains.
Elle s'est abaissée, je me suis rapprochée d'elle, elle a ouvert son peignoir et le membre de monsieur à surgi comme un diable de sa boîte, prêt à l'emploi. J'ai dit à la jeune panthère de me regarder, et une étincelle s'est allumée dans ses yeux quand elle à réalisé que la caméra allait tout enregistrer. Elle a englouti la bite d'un seul coup dans sa bouche, jusqu'à plus de la moitié, et elle a commencée à lui faire une pipe d'enfer devant moi. J'étais excité comme jamais d'assister à ça. Elle le suçait divinement, fière devant l'objectif, sa bouche baveuse et pleins de bruits de succion pour rendre le tout plus animal. Elle fixait la caméra droit dans les yeux, et j'avais l'impression que c'est moi qu'elle suçait - ça devait se voir d'ailleurs.
Pour ne pas être en reste monsieur lui a attrapé les cheveux délicatement et a donné lui-même la cadence de la fellation en entrant et sortant son membre de la bouche de son amante. Divin. Elle a commencé à se touché par en dessous, la main dans sa culotte.
Après quelques minutes de ce traitement, monsieur l'a portée sur le lit, à 4 pattes, a relevé sa robe et baissé son string le long de ses cuisses. Il s'assurait tout le temps que j'étais au bien placé pour filmer la scène, et m'attendait ou me laissait plus de place pour garantir le résultat. Elle avait un minou rasé de prêt, un délicieux abricot d'amour, déjà bien juteux, surmonté d'un petit trait de poils noirs, des plus sexy.
Il a bien écarté ses fesses avec ses doigts, et il a passé sa langue sur son clito, le long de sa fente, sur ses lèvres, jusqu'à son petit trou. Elle a râlé de plaisir. Je me demandais par quel miracle je pouvais bien être en train d'assister à un tel moment d'intimité. Il a fouillé son minou avec sa langue, et elle, offerte, gémissait les yeux mi-clos sur les draps. Je filmais tantôt son visage se déformant de plaisir, tantôt la langue de son homme pénétrant son minou. Entre les deux, la cambrure exquise de son dos, ses jeunes courbes délicieuses, sa peau fraîche et satinée...
Quand il a été rassasié, l'homme s'est relevé et s'est installé sur une chaise en face du lit. La fille a repris ses esprits, elle a fait glisser sa robe le long de ses hanches pour découvrir de merveilleux seins, puis s'est mise sur le dos, confortablement adossée aux oreillers. Ils se faisaient face, nus, j'ai décidé de saisir l'ensemble.
La fille a sorti un vibro au design plutôt chic de la table de nuit, puis elle a commencé à le caresser, à le promener sur son corps, à le lécher tendrement... elle fixait son homme dans les yeux, et lui à l'autre bout de la chambre caressait son membre tout dur en la voyant s'affairer. Je me suis mis dans l'axe de ses yeux à elle, et elle a recommencé son jeu avec la caméra. Elle se tortillait sur le dos, écartant les cuisses au maximum, une invitation insoutenable, et je me suis rapproché jusqu'à mettre ma caméra à quelques centimètres à peine de sa chatte. Ca l'a excitée au plus au point, elle a donc commencé à s'insérer le vibro sans plus attendre. Je vous laisse à peine imaginer le supplice merveilleux d'assister à la masturbation d'une aussi jolie fille, avec la bénédiction de son amant, si librement. L'engin disparaissait dans sa chatte pour ressortir luisant, et disparaître dans sa bouche ensuite. La séance à duré bien 10 minutes, et le moins qu'on puisse dire et que mademoiselle était parfaitement prête et ouverte pour recevoir son homme en elle quand il est enfin venu!
Il l'a baisée en missionnaire, moi filmant entre ses jambes, puis par dessus, puis plus large. J'étais excité au possible. Ils étaient en parfaite harmonie, un couple expérimenté au lit, qui semblait bien se connaître. Elle se laissait aller, ses longs cheveux répandus sur les draps, les tétons durcis par le plaisir, elle regardait son homme l'empaler de ses coups de boutoir avec le regard confiant. Je tournais autour du couple en sentant la tension monter... difficile de se concentrer, mais j'essayais de rester professionnel ! Je semblais en tout cas avoir disparu à leurs yeux, je pouvais me placer où je voulais sans réaction de leur part.
Elle l'a chevauché ensuite, impériale, cambrée et douce, et lui agrippait ses fesses pour l'inciter à augmenter la cadence. Sa bite était grosse et la fille semblait heureuse... j'ai pris beaucoup de plaisir à les filmer.
Après quelques minutes, ils se sont relevés, se sont murmuré quelque chose à l'oreille, puis il est reparti dans la salle de bain. Elle est restée sur le lit, ses doits entre ses cuisses, et nous avons parlé un peu de comment ça se passait pour tout le monde, cette première fois en vidéo... J'avais un mal de chien à lui parler comme si de rien était alors que la minute d'avant elle se faisait enfiler, et que là elle était superbe, nue et en train de se masturber devant moi!
Il est revenu avec un tube de lubrifiant, et quand elle s'est mise à 4 pattes j'ai compris ce qui se tramait... Le grand jeu aujourd'hui, pour la vidéo. J'ai donc filmé monsieur s'enduire le membre de lubrifiant, puis verser un peu du liquide entre les fesses de sa maîtresse. Vision de rêve en gros plan... Il a joué avec ses doigts dans son petit trou, puis il est entré dans son cul sans difficulté - à mon avis elle avait l'habitude de lui offrir son petit trou !
J'ai enlevé mon t-shirt car la température était soudain montée. Monsieur prenait sa maîtresse par le cul devant moi, j'étais écarlate entre gêne, voyeurisme et excitation, enfin j'ai essayé de filmer la sodomie du mieux que j'ai pu. Ils semblaient prendre leur pied ces deux-là... La bite entrait jusqu'au fond entre les fesses rebondies de la beauté, et celle-ci semblait pousser pour l'avoir encore plus profond. Je me suis assis devant elle, sur l'oreiller, pour filmer son visage qui se crispait à chaque coup de boutoir, et avoir l'homme en arrière plan par dessus son épaule. C'était terriblement excitant...
Elle s'est retournée brièvement, et je n'ai pas vu ce qu'elle lui a dit, mais il a semblé acquiescer quelque chose tout en la baisant. Quand sa tête s'est retournée vers moi, je n'ai pas eu le temps de réagir qu'elle avait ouvert mon jean et aspiré mon membre. Il n'avait jamais été question que je participe ! Je ne savais pas quoi faire, je ne savais même pas si j'étais libertin jusque là, enfin voilà, elle me suçait maintenant! Et son homme qui regardait la scène en l'enculant, j'étais pris au piège... mais que ce fut bon! A chaque fois qu'il l'enculait, elle m'aspirait plus profond. Du coup j'ai filmé ma pipe aussi... c'était terriblement chaud! Evidemment, pris de court, je l'ai prévenu que j'allais craquer bientot pour me retirer. En m'entendant, son homme à accéleré la sodomie, elle a accéléré ses coups de langue, et sans avoir le temps d'y penser, j'ai joui dans sa bouche et sur ses joues. In-ten-se ! Elle était écarlate de plaisir, mon foutre sur ses lèvres, ses fesses rougies par les fessées de son amant, béantes de plaisir.
Je n'osais pas regarder l'homme, comme si j'avais souillé sa femme ou je ne sais pas pourquoi... Avant d'avoir eu le temps d'y penser, il s'est retiré d'elle, est monté sur le lit, et s'est branlé au-dessus de sa bouche pour jouir à son tour. J'ai filmé à 10 centimètres à peine son explosion de plaisir dans la bouche déjà tachée de la fille... absolument bestial ! Magique, sexy, sale, wouaw, quelle expérience...
J'ai quitté l'hotel sur un nuage.
J'ai du me masturber 10 fois en revoyant les images sur mon banc de montage, puis je leur ai envoyé le DVD de leur partie de jambe en l'air... ils m'ont dit que j'avais été très bien dans le second rôle ! Je crois qu'ils ont posté la vidéo sur leur nouveau blog, je vous la posterai s'ils me le permettent...
On s'est revus une fois en ville un soir, pour se rappeler cet scène mémorable. Ils sont si sympas tous les deux!
Au restaurant, il m'a quand même demandé de glisser ma main entre les cuisses de son amante sous la table. Elle n'avait pas de culotte, il m'a demandé de lui enfiler un doigt dans la chatte pendant qu'on commandait le plat... vive le libertinage !
A Paris, anniversaire d’une pote au resto. On est une quinzaine, on parle fort et on picole un peu. Ambiance petite taverne au coeur de la ville, un soir de semaine. Elle vient prendre la commande, sublime, jean et t-shirt, brune à souhait. Nos yeux se croisent rapidement au milieu de toutes les commandes, quelque chose passe instantanément. Je sors fumer une clope avec les fumeurs, la voilà qui arrive dans mon dos : elle a mal noté nos commande et réinterroge tous le monde. « Sauf lui, je sais ce qu’il a pris » dit-elle, sa main sur mon dos, discrètement sous mon t-shirt. Wouaw, En mangeant, je l’observe qui s’affaire au bar, et chaque fois que nos yeux se croisent l’un de nous détourne le regard.
Elle est vraiment craquante. Il y a du monde, la soirée tourne bien. Deux heures plus tard, on enchaîne les rhums au comptoir, elle offre un verre à tous les candidats. J’ai droit à ma dose directement versée dans la bouche depuis la bouteille, elle boit juste après moi sans me regarder, mais j’ai compris le signe. Un peu plus tard, je vais pisser, et en sortant je la croise qui remonte de la cave avec des bouteilles. C’est un petit bout de couloir en recul, d’où personne ne devrait nous voir. Je suis surpris de tomber sur elle, mais elle visiblement pas – elle avait peut-être préparé son coup. Le temps que je réagisse, dans ce petit couloir étroit, je cherche quelque chose à dire, mais elle a déjà posé son fardeau et m’attire contre elle pour que je la plaque contre le mur. Bouffée de chaleur, elle m’embrasse sans prévenir.
Nos langues s’emmêlent, elle passe sa main sous mon t-shirt, puis sur mes fesses pour m’appuyer contre elle. En quelques secondes, me voilà fouillant sa bouche avec ma langue sans retenue, et nos bassins font des mouvements langoureux l’un contre l’autre. Elle respire fort, ses yeux sont de braise, et mes mains se retrouvent sous son t-shirt, à pincer ses tétons extirpés de son soutien-gorge à là va vite. Quelqu’un arrive, l’étreinte s’arrête aussi vite qu’elle a commencée, pas vu pas pris. Elle disparait dans la salle avec ses bouteilles, et moi je reste une bonne minute à attendre que la bosse dans mon slip disparaisse avant de rejoindre mes amis.
La soirée s’éternise, je ne suis plus vraiment présent, obsédé par elle. Elle ne me jette plus un regard, occupée à terminer son service. Elle semble m’ignorer et c’est terriblement érotique.
Deux heures du mat, on est plus que quelques uns à boire des coups au comptoir. Elle range la salle, remet les chaises sur les tables. Le patron veut fermer, elle lui dit « t’inquiètes, ce soir je ferme » en me regardant dans les yeux pour la première fois depuis une heure. Une demi-heure plus tard, alors qu’elle à bien fini la soirée à la tequila avec nous, je dis au revoir dehors à mes potes qui s’en vont. Je me retourne, elle lave les derniers verres derrière moi, seule dans le resto. Je rentre, un peu tendu, on se boit encore un rhum. Du rock et nous deux. Elle éteint petit à petit les lumières, mais je suis encore dedans quand elle baisse le rideau métallique qui ferme la boutique.
Pendant qu’elle passe un dernier coup d’éponge sur le comptoir, je m’approche d’elle dans son dos et pose mes mains sur ses hanches, sans trop savoir ce qui va se passer. Elle se retourne, peine d’énergie à l’heure qu’il est, et on s’embrasse à nouveau. Les caresses vont bon train, elle m’embrasse dans le coup, et mes mains glissent sous son jean, sur ses fesses. Elle commence à déboutonner ma chemise, toujours sans un mot. Je veux reprendre la situation en main, je la soulève et l’assoit sur le comptoir. Elle sourit, ivre de plaisir, et m’enlève définitivement ma chemise.
En guise de réponse je lui enlève ses bottines et m’attaque aux boutons de son jean. Elle s’allume une clope, pas farouche. Le jean glisse sur ses cuisses à la forme parfaite, on s’enlace, puis son string suit le chemin. Je sens d’ici qu’elle est super excitée aussi.
Je la pousse tendrement en arrière et m’installe sur le tabouret par miracle juste à côté de moi. Elle s’allonge sur le comptoir, les yeux fermés, tirant sur sa clope avec une sensualité incroyable. J’écarte doucement ses cuisses, et je découvre une belle petite chatte épilée, un petit trait de poil au-dessus de la fente, vision magique. Ses lèvres sont déjà luisantes, et elle écarte d’elle-même ses jambes, décidemment pas farouche. Je la sens frémir lorsque ma langue se pose sur son clito. Je remonte sa fente avec amour, elle est offerte. Je crache sur son minou, elle aime.
Je débute un cuni de rêve. Ma langue parcours ses lèvres, tourne autour de son bouton, s’immisce dans sa fente. Elle mouille abondamment et c’est un régal. Ses mains tiennent les miennes, et elle se cambre. Je lui bouffe littéralement le minou, j’en ai de partout, elle coule de bonheur. Cela dure de longues minutes, jusqu’à ce qu’à force de sucer son clito je la sente se crisper : elle jouit, les fesses à l’air sur le comptoir, et pour la première fois je l’entends feuler comme une panthère. Déesse de la nuit, délicieuse. Pendant qu’elle reprend ses esprits, je déboutonne mon froc et enfile une capote.
Elle a toujours les yeux fermés lorsque mon gland se présente entre ses cuisses. Ca entre tout seul, moi dur comme pas permis, et elle ruisselante. Elle attrape mes hanches et me guide vers son plaisir. Les va-et-vient son un peu brutaux, elle gémit, et moi aussi je dois dire. Je regarde ma bite disparaître entre ses cuisses, puis son visage déformé par le plaisir. On baise sur le comptoir, c’est irréel. Je sors ses seins sous son t-shirt et les mange. Elle presse ma tête dans sa poitrine, elle est complètement ouverte, je la ramone plus fort, elle aime.
Elle me repousse et m’assoit sur une chaise derrière. Les yeux dans les yeux, elle enlève son t-shirt, et entièrement nue devant moi elle défait ses cheveux. Le temps s’est arrêté, elle est magnifique. Elle vient s’assoir sur moi, s’empaler sur mon dard au garde-à-vous. Elle l’engloutit d’un coup, mais je sens cette petite vicieuse appuyer de tout son poids pour l’avoir le plus profond possible. Elle plaque ma tête sur ses seins pour que je les lèche encore.
Elle ondule du bassin, moi au plus profond d’elle, et bientôt j’entends les flic flac de sa chatte autour de moi. Elle mouille tellement que je sens son jus couler sur mes couilles et mes cuisses. C’est elle qui me baise sur la chaise, et elle sait parfaitement ce qu’elle veut. Ca me rend dingue, l’atmosphère de l’endroit, la musique, l’alcool, cette serveuse inconnue en train de se servir de moi pour se faire du bien ce soir. Je sens que je vais bientôt craquer.
Elle le sens, et là ô surprise elle se retire, m’enlève ma capote d’une main experte et s’agenouille pour me prendre dans sa bouche. C’est le summum. Ma main dans ses cheveux, je gère la cadence, elle gémit la bouche pleine de mon membre, et je craque. J’envoie la purée dans sa bouche, mais elle se retire aux premières gouttes pour me branler. Je jouis sur ses seins et sur son cou. Intense, animal, sauvage, crade même.
Je reviens à mes esprits doucement. Elle continue de me branler doucement, avec beaucoup de tendresse même, pendant que mes jambes chancellent encore. Le temps s’est définitivement arrêté.
Nue, elle remonte sur le comptoir, et on s’allume une cigarette. Moi, le jean sur les chevilles, le sexe plein de fluides. Elle, nue, une lumière rouge sur la peau qui la sublime, me soufflant sa fumée de cigarette au visage, et mon jus encore sur ses seins.
Sans un mot.
Je l’aide à finir de ranger, on se rhabille, et on se roule une dernière grosse pelle dans la rue avant de partir chacun de son côté.
Le lendemain, elle ne travaillait pas... pour mon plus grand malheur !