Mercredi 28 septembre 3 28 /09 /Sep 23:10

A Paris, anniversaire d’une pote au resto. On est une quinzaine, on parle fort et on picole un peu. Ambiance petite taverne au coeur de la ville, un soir de semaine. Elle vient prendre la commande, sublime, jean et t-shirt, brune à souhait. Nos yeux se croisent rapidement au milieu de toutes les commandes, quelque chose passe instantanément. Je sors fumer une clope avec les fumeurs, la voilà qui arrive dans mon dos : elle a mal noté nos commande et réinterroge tous le monde. « Sauf lui, je sais ce qu’il a pris » dit-elle, sa main sur mon dos, discrètement sous mon t-shirt. Wouaw, En mangeant, je l’observe qui s’affaire au bar, et chaque fois que nos yeux se croisent l’un de nous détourne le regard.

Elle est vraiment craquante. Il y a du monde, la soirée tourne bien. Deux heures plus tard, on enchaîne les rhums au comptoir, elle offre un verre à tous les candidats. J’ai droit à ma dose directement versée dans la bouche depuis la bouteille, elle boit juste après moi sans me regarder, mais j’ai compris le signe. Un peu plus tard, je vais pisser, et en sortant je la croise qui remonte de la cave avec des bouteilles. C’est un petit bout de couloir en recul, d’où personne ne devrait nous voir. Je suis surpris de tomber sur elle, mais elle visiblement pas – elle avait peut-être préparé son coup. Le temps que je réagisse, dans ce petit couloir étroit, je cherche quelque chose à dire, mais elle a déjà posé son fardeau et m’attire contre elle pour que je la plaque contre le mur. Bouffée de chaleur, elle m’embrasse sans prévenir.

Nos langues s’emmêlent, elle passe sa main sous mon t-shirt, puis sur mes fesses pour m’appuyer contre elle. En quelques secondes, me voilà fouillant sa bouche avec ma langue sans retenue, et nos bassins font des mouvements langoureux l’un contre l’autre. Elle respire fort, ses yeux sont de braise, et mes mains se retrouvent sous son t-shirt, à pincer ses tétons extirpés de son soutien-gorge à là va vite. Quelqu’un arrive, l’étreinte s’arrête aussi vite qu’elle a commencée, pas vu pas pris. Elle disparait dans la salle avec ses bouteilles, et moi je reste une bonne minute à attendre que la bosse dans mon slip disparaisse avant de rejoindre mes amis.

La soirée s’éternise, je ne suis plus vraiment présent, obsédé par elle. Elle ne me jette plus un regard, occupée à terminer son service. Elle semble m’ignorer et c’est terriblement érotique.

Deux heures du mat, on est plus que quelques uns à boire des coups au comptoir. Elle range la salle, remet les chaises sur les tables. Le patron veut fermer, elle lui dit « t’inquiètes, ce soir je ferme » en me regardant dans les yeux pour la première fois depuis une heure. Une demi-heure plus tard, alors qu’elle à bien fini la soirée à la tequila avec nous, je dis au revoir dehors à mes potes qui s’en vont. Je me retourne, elle lave les derniers verres derrière moi, seule dans le resto. Je rentre, un peu tendu, on se boit encore un rhum. Du rock et nous deux. Elle éteint petit à petit les lumières, mais je suis encore dedans quand elle baisse le rideau métallique qui ferme la boutique.

Pendant qu’elle passe un dernier coup d’éponge sur le comptoir, je m’approche d’elle dans son dos et pose mes mains sur ses hanches, sans trop savoir ce qui va se passer. Elle se retourne, peine d’énergie à l’heure qu’il est, et on s’embrasse à nouveau. Les caresses vont bon train, elle m’embrasse dans le coup, et mes mains glissent sous son jean, sur ses fesses. Elle commence à déboutonner ma chemise, toujours sans un mot. Je veux reprendre la situation en main, je la soulève et l’assoit sur le comptoir. Elle sourit, ivre de plaisir, et m’enlève définitivement ma chemise.

En guise de réponse je lui enlève ses bottines et m’attaque aux boutons de son jean. Elle s’allume une clope, pas farouche. Le jean glisse sur ses cuisses à la forme parfaite, on s’enlace, puis son string suit le chemin. Je sens d’ici qu’elle est super excitée aussi.

Je la pousse tendrement en arrière et m’installe sur le tabouret par miracle juste à côté de moi. Elle s’allonge sur le comptoir, les yeux fermés, tirant sur sa clope avec une sensualité incroyable. J’écarte doucement ses cuisses, et je découvre une belle petite chatte épilée, un petit trait de poil au-dessus de la fente, vision magique. Ses lèvres sont déjà luisantes, et elle écarte d’elle-même ses jambes, décidemment pas farouche. Je la sens frémir lorsque ma langue se pose sur son clito. Je remonte sa fente avec amour, elle est offerte. Je crache sur son minou, elle aime.

Je débute un cuni de rêve. Ma langue parcours ses lèvres, tourne autour de son bouton, s’immisce dans sa fente. Elle mouille abondamment et c’est un régal.  Ses mains tiennent les miennes, et elle se cambre. Je lui bouffe littéralement le minou, j’en ai de partout, elle coule de bonheur. Cela dure de longues minutes, jusqu’à ce qu’à force de sucer son clito je la sente se crisper : elle jouit, les fesses à l’air sur le comptoir, et pour la première fois je l’entends feuler comme une panthère. Déesse de la nuit, délicieuse. Pendant qu’elle reprend ses esprits, je déboutonne mon froc et enfile une capote.

Elle a toujours les yeux fermés lorsque mon gland se présente entre ses cuisses. Ca entre tout seul, moi dur comme pas permis, et elle ruisselante. Elle attrape mes hanches et me guide vers son plaisir. Les va-et-vient son un peu brutaux, elle gémit, et moi aussi je dois dire. Je regarde ma bite disparaître entre ses cuisses, puis son visage déformé par le plaisir. On baise sur le comptoir, c’est irréel. Je sors ses seins sous son t-shirt et les mange. Elle presse ma tête dans sa poitrine, elle est complètement ouverte, je la ramone plus fort, elle aime.

Elle me repousse et m’assoit sur une chaise derrière. Les yeux dans les yeux, elle enlève son t-shirt, et entièrement nue devant moi elle défait ses cheveux. Le temps s’est arrêté, elle est magnifique. Elle vient s’assoir sur moi, s’empaler sur mon dard au garde-à-vous. Elle l’engloutit d’un coup, mais je sens cette petite vicieuse appuyer de tout son poids pour l’avoir le plus profond possible. Elle plaque ma tête sur ses seins pour que je les lèche encore.

Elle ondule du bassin, moi au plus profond d’elle, et bientôt j’entends les flic flac de sa chatte autour de moi. Elle mouille tellement que je sens son jus couler sur mes couilles et mes cuisses. C’est elle qui me baise sur la chaise, et elle sait parfaitement ce qu’elle veut. Ca me rend dingue, l’atmosphère de l’endroit, la musique, l’alcool, cette serveuse inconnue en train de se servir de moi pour se faire du bien ce soir. Je sens que je vais bientôt craquer.

Elle le sens, et là ô surprise elle se retire, m’enlève ma capote d’une main experte et s’agenouille pour me prendre dans sa bouche. C’est le summum. Ma main dans ses cheveux, je gère la cadence, elle gémit la bouche pleine de mon membre, et je craque. J’envoie la purée dans sa bouche, mais elle se retire aux premières gouttes pour me branler. Je jouis sur ses seins et sur son cou. Intense, animal, sauvage, crade même.

Je reviens à mes esprits doucement. Elle continue de me branler doucement, avec beaucoup de tendresse même, pendant que mes jambes chancellent encore. Le temps s’est définitivement arrêté.

Nue, elle remonte sur le comptoir, et on s’allume une cigarette. Moi, le jean sur les chevilles, le sexe plein de fluides. Elle, nue, une lumière rouge sur la peau qui la sublime, me soufflant sa fumée de cigarette au visage, et mon jus encore sur ses seins.

Sans un mot.

Je l’aide à finir de ranger, on se rhabille, et on se roule une dernière grosse pelle dans la rue avant de partir chacun de son côté.

Le lendemain, elle ne travaillait pas... pour mon plus grand malheur !

 

Par anecdotescoquines
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