Partager l'article ! Sexe, hotel et video!: Quand ils m'ont ouvert la porte, j'ai immédiatement su que cela allait bien se passer. Lui était un bel homme aux tempes ...
Quand ils m'ont ouvert la porte, j'ai immédiatement su que cela allait bien se passer. Lui était un bel homme aux tempes argentées, et elle devait avoir entre 25 et 30 ans, une belle tigresse à la peau mate et aux cheveux noirs qui tombaient sur ses énormes seins. Tous deux élégants, fidèles à ce qu'ils m'avaient annoncés lors de nos premiers contacts par mail.
J'ai déposé mon matériel vidéo dans un coin de la chambre d'hôtel, elle m'a ôté mon manteau, il m'a servi une coupe de champagne. L'ambiance aurait pu être un peu nerveuse, un peu froide, mais ils ont su dissiper notre malaise à tous les 3 avant même qu'il ne montre son nez. Ils étaient amants, un couple aussi beau qu'illégitime, on s'était rencontrés sur un site, et ils avaient décidé de faire appel à moi pour faire un film de leurs ébats.
Après plusieurs mails et coups de fils, on se rencontrait enfin, non sans trac, mais les bulles et les présentations ont tout de suite mis l'ambiance. Je ne savais pas trop par où commencer, le lit trônant oppressant au milieu de la chambre, comme un rappel monstrueux de la raison de notre présence.
Il est parti dans la salle de bain, elle m'a poussé contre le mur et m'a embrassé soudainement de ses lèvres charnues et fraîches. Sa main est passée immédiatement sur mon membre, déjà dur à travers le jean.
Quand il est sorti de la salle de bain, elle s'était retournée, ni vue ni connue, et il ne s'est douté de rien. Je ne savais pas si c'était convenu entre eux ou pas, mais j'étais sacrément excité...
Il est donc revenu en peignoir, un petit sourire au lèvre, et il l'a enlacée pour l'embrasser devant moi. J'ai sorti ma caméra et préparé mon matériel pendant qu'il la réchauffait un peu.
Quand j'ai été prêt, je lui ai fait un petit signe, et il a commencé à la caresser sous ses vêtements, à remonter sa petite robe pour découvrir ses fesses, à tirer doucement sur son string. Dans mon viseur, leurs langues se sont entrelacées, et elle laissait échapper de petits gémissements sourds chaque fois qu'il écartait ses fesses dans ses mains.
Elle s'est abaissée, je me suis rapprochée d'elle, elle a ouvert son peignoir et le membre de monsieur à surgi comme un diable de sa boîte, prêt à l'emploi. J'ai dit à la jeune panthère de me regarder, et une étincelle s'est allumée dans ses yeux quand elle à réalisé que la caméra allait tout enregistrer. Elle a englouti la bite d'un seul coup dans sa bouche, jusqu'à plus de la moitié, et elle a commencée à lui faire une pipe d'enfer devant moi. J'étais excité comme jamais d'assister à ça. Elle le suçait divinement, fière devant l'objectif, sa bouche baveuse et pleins de bruits de succion pour rendre le tout plus animal. Elle fixait la caméra droit dans les yeux, et j'avais l'impression que c'est moi qu'elle suçait - ça devait se voir d'ailleurs.
Pour ne pas être en reste monsieur lui a attrapé les cheveux délicatement et a donné lui-même la cadence de la fellation en entrant et sortant son membre de la bouche de son amante. Divin. Elle a commencé à se touché par en dessous, la main dans sa culotte.
Après quelques minutes de ce traitement, monsieur l'a portée sur le lit, à 4 pattes, a relevé sa robe et baissé son string le long de ses cuisses. Il s'assurait tout le temps que j'étais au bien placé pour filmer la scène, et m'attendait ou me laissait plus de place pour garantir le résultat. Elle avait un minou rasé de prêt, un délicieux abricot d'amour, déjà bien juteux, surmonté d'un petit trait de poils noirs, des plus sexy.
Il a bien écarté ses fesses avec ses doigts, et il a passé sa langue sur son clito, le long de sa fente, sur ses lèvres, jusqu'à son petit trou. Elle a râlé de plaisir. Je me demandais par quel miracle je pouvais bien être en train d'assister à un tel moment d'intimité. Il a fouillé son minou avec sa langue, et elle, offerte, gémissait les yeux mi-clos sur les draps. Je filmais tantôt son visage se déformant de plaisir, tantôt la langue de son homme pénétrant son minou. Entre les deux, la cambrure exquise de son dos, ses jeunes courbes délicieuses, sa peau fraîche et satinée...
Quand il a été rassasié, l'homme s'est relevé et s'est installé sur une chaise en face du lit. La fille a repris ses esprits, elle a fait glisser sa robe le long de ses hanches pour découvrir de merveilleux seins, puis s'est mise sur le dos, confortablement adossée aux oreillers. Ils se faisaient face, nus, j'ai décidé de saisir l'ensemble.
La fille a sorti un vibro au design plutôt chic de la table de nuit, puis elle a commencé à le caresser, à le promener sur son corps, à le lécher tendrement... elle fixait son homme dans les yeux, et lui à l'autre bout de la chambre caressait son membre tout dur en la voyant s'affairer. Je me suis mis dans l'axe de ses yeux à elle, et elle a recommencé son jeu avec la caméra. Elle se tortillait sur le dos, écartant les cuisses au maximum, une invitation insoutenable, et je me suis rapproché jusqu'à mettre ma caméra à quelques centimètres à peine de sa chatte. Ca l'a excitée au plus au point, elle a donc commencé à s'insérer le vibro sans plus attendre. Je vous laisse à peine imaginer le supplice merveilleux d'assister à la masturbation d'une aussi jolie fille, avec la bénédiction de son amant, si librement. L'engin disparaissait dans sa chatte pour ressortir luisant, et disparaître dans sa bouche ensuite. La séance à duré bien 10 minutes, et le moins qu'on puisse dire et que mademoiselle était parfaitement prête et ouverte pour recevoir son homme en elle quand il est enfin venu!
Il l'a baisée en missionnaire, moi filmant entre ses jambes, puis par dessus, puis plus large. J'étais excité au possible. Ils étaient en parfaite harmonie, un couple expérimenté au lit, qui semblait bien se connaître. Elle se laissait aller, ses longs cheveux répandus sur les draps, les tétons durcis par le plaisir, elle regardait son homme l'empaler de ses coups de boutoir avec le regard confiant. Je tournais autour du couple en sentant la tension monter... difficile de se concentrer, mais j'essayais de rester professionnel ! Je semblais en tout cas avoir disparu à leurs yeux, je pouvais me placer où je voulais sans réaction de leur part.
Elle l'a chevauché ensuite, impériale, cambrée et douce, et lui agrippait ses fesses pour l'inciter à augmenter la cadence. Sa bite était grosse et la fille semblait heureuse... j'ai pris beaucoup de plaisir à les filmer.
Après quelques minutes, ils se sont relevés, se sont murmuré quelque chose à l'oreille, puis il est reparti dans la salle de bain. Elle est restée sur le lit, ses doits entre ses cuisses, et nous avons parlé un peu de comment ça se passait pour tout le monde, cette première fois en vidéo... J'avais un mal de chien à lui parler comme si de rien était alors que la minute d'avant elle se faisait enfiler, et que là elle était superbe, nue et en train de se masturber devant moi!
Il est revenu avec un tube de lubrifiant, et quand elle s'est mise à 4 pattes j'ai compris ce qui se tramait... Le grand jeu aujourd'hui, pour la vidéo. J'ai donc filmé monsieur s'enduire le membre de lubrifiant, puis verser un peu du liquide entre les fesses de sa maîtresse. Vision de rêve en gros plan... Il a joué avec ses doigts dans son petit trou, puis il est entré dans son cul sans difficulté - à mon avis elle avait l'habitude de lui offrir son petit trou !
J'ai enlevé mon t-shirt car la température était soudain montée. Monsieur prenait sa maîtresse par le cul devant moi, j'étais écarlate entre gêne, voyeurisme et excitation, enfin j'ai essayé de filmer la sodomie du mieux que j'ai pu. Ils semblaient prendre leur pied ces deux-là... La bite entrait jusqu'au fond entre les fesses rebondies de la beauté, et celle-ci semblait pousser pour l'avoir encore plus profond. Je me suis assis devant elle, sur l'oreiller, pour filmer son visage qui se crispait à chaque coup de boutoir, et avoir l'homme en arrière plan par dessus son épaule. C'était terriblement excitant...
Elle s'est retournée brièvement, et je n'ai pas vu ce qu'elle lui a dit, mais il a semblé acquiescer quelque chose tout en la baisant. Quand sa tête s'est retournée vers moi, je n'ai pas eu le temps de réagir qu'elle avait ouvert mon jean et aspiré mon membre. Il n'avait jamais été question que je participe ! Je ne savais pas quoi faire, je ne savais même pas si j'étais libertin jusque là, enfin voilà, elle me suçait maintenant! Et son homme qui regardait la scène en l'enculant, j'étais pris au piège... mais que ce fut bon! A chaque fois qu'il l'enculait, elle m'aspirait plus profond. Du coup j'ai filmé ma pipe aussi... c'était terriblement chaud! Evidemment, pris de court, je l'ai prévenu que j'allais craquer bientot pour me retirer. En m'entendant, son homme à accéleré la sodomie, elle a accéléré ses coups de langue, et sans avoir le temps d'y penser, j'ai joui dans sa bouche et sur ses joues. In-ten-se ! Elle était écarlate de plaisir, mon foutre sur ses lèvres, ses fesses rougies par les fessées de son amant, béantes de plaisir.
Je n'osais pas regarder l'homme, comme si j'avais souillé sa femme ou je ne sais pas pourquoi... Avant d'avoir eu le temps d'y penser, il s'est retiré d'elle, est monté sur le lit, et s'est branlé au-dessus de sa bouche pour jouir à son tour. J'ai filmé à 10 centimètres à peine son explosion de plaisir dans la bouche déjà tachée de la fille... absolument bestial ! Magique, sexy, sale, wouaw, quelle expérience...
J'ai quitté l'hotel sur un nuage.
J'ai du me masturber 10 fois en revoyant les images sur mon banc de montage, puis je leur ai envoyé le DVD de leur partie de jambe en l'air... ils m'ont dit que j'avais été très bien dans le second rôle ! Je crois qu'ils ont posté la vidéo sur leur nouveau blog, je vous la posterai s'ils me le permettent...
On s'est revus une fois en ville un soir, pour se rappeler cet scène mémorable. Ils sont si sympas tous les deux!
Au restaurant, il m'a quand même demandé de glisser ma main entre les cuisses de son amante sous la table. Elle n'avait pas de culotte, il m'a demandé de lui enfiler un doigt dans la chatte pendant qu'on commandait le plat... vive le libertinage !